L'éolienne est une voile actuelle , symbole d'une symbiose réussie entre homme et nature mais également de la transmission entre générations , ne laissant aucune trace indélébile de notre passage, qu'une forme aboutie de notre sobriété , de notre conscience .
DANTON peu de temps avant d’être guillotiné en 1794
"Nous avons brisé la tyrannie des privilèges en abolissant ces pouvoirs auxquels n'avait droit aucun homme.
Nous avons mis fin au monopole de la naissance et de la fortune dans tous ces grands offices de l'Etat, dans toutes les parties de ce grand corps magnifique de la France.
Nous avons déclaré que l'homme le plus humble de ce pays est l'égal des plus grands.
Cette liberté que nous avons acquise pour nous-mêmes nous l'avons affectée aux esclaves et nous confions au monde la mission de bâtir l'avenir sur l'espoir que nous avons fait naître."
Le Che Alger 1965
"Il n'est pas pour nous d'autre définition du socialisme que l'abolition de l'exploitation de l'homme par l'homme."
"Les plantes semblent avoir été semées avec profusion sur la terre comme les étoiles dans le ciel pour inviter l’homme par l’attrait du plaisir et de la curiosité à l’étude de la nature"
Aurélien Ribes et l’auteur de cette étude, et chercheur au centre national de recherche météorologique.
AURELIEN RIBES : « Par rapport à la période préindustrielle, c’est-à-dire la fin du 19e siècle, la température augmentera de 2 degrés dans un scénario de faibles émissions, mais on sera à 3 degrés avec des émissions faibles à modérées et à 5 degrés dans un scénario de fortes émissions, tout cela avec des incertitudes de plus ou moins 20%.
Ce sont des chiffres globalement cohérents avec ceux du précédent rapport du Giec (le groupe international d’experts sur le climat). Simplement, le bas de la fourchette retenue est plus élevé dans notre étude. Cela signifie que nous excluons les valeurs de réchauffement les plus faibles pour le futur. »
Comment parvenez vous à ces résultats ? Quelle est votre méthode
« C’est une nouvelle génération de scénarios et de simulations climatiques. On a cherché à faire une synthèse entre les simulations qui existent sur la planète et ce qui a été observé, en matière de changement climatique, depuis 1850. On a calculé les trajectoires de réchauffement futures, pour qu’elles soient cohérentes avec ce qui a été observé jusqu’en 2020.
Mais le scénario à 5 degrés demande d’émettre de très grandes quantités de gaz à effet de serre. On peut espérer que ce ne soit pas le bon. Ce qui est le plus frappant, c’est que l’on arrive à une augmentation de 3 degrés avec des émissions faibles à modérées. Or 3 degrés, c’est un chiffre déjà très grand qui aura beaucoup d’impacts sur de nombreuses activités ! Et si on veut rester en-dessous de deux degrés, il faudra réduire les émissions dans des proportions très significatives. »
Ce réchauffement est-il imputable à l’homme ?
« Oui, si on s’intéresse aux climats du passé, on estime le réchauffement total en 2020 à 1,22 degrés. Ce qui est déjà beaucoup. L’objectif de l’Accord de Paris est de rester en-dessous de 1 degré et demi, or là, on s’en rapproche. De plus, la quasi totalité de ce réchauffement, observé, est imputable aux activités humaines. Parmi ces 1,22 degrés, 1,15 degrés sont précisément la conséquence des activités humaines. C’est l’écrasante majorité. La contribution de tous les autres facteurs naturels est très faible, elle représente moins de un dixième de degré ! »
À l’échelle mondiale, 2020 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée, égalant de fait 2016, le précédent record. Dans l’ensemble, la température moyenne de la Terre a augmenté de 1,25 degré depuis les années 1880. Les températures augmentent en raison des activités humaines, en particulier des émissions de gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane. (Crédits : Studio de visualisation scientifique de la NASA/Lori Perkins/Kathryn Mersmann)
Poursuivant la tendance au réchauffement de la planète à long terme, la température moyenne mondiale de l’année a été supérieure de 1,84 degrés Fahrenheit (1,02 degrés Celsius) à la moyenne de référence de 1951-1980, selon les scientifiques du Goddard Institute for Space Studies (GISS) de la NASA à New York. L’année 2020 est très légèrement supérieure à 2016, dans les limites de la marge d’erreur de l’analyse, ce qui fait que les années sont effectivement à égalité pour l’année la plus chaude jamais enregistrée.
« Les sept dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées, ce qui illustre bien la tendance au réchauffement qui se poursuit et qui est dramatique », a déclaré le directeur du GISS, Gavin Schmidt. « Qu’une année soit un record ou non n’est pas vraiment important – les choses importantes sont les tendances à long terme. Avec ces tendances, et comme l’impact humain sur le climat augmente, nous devons nous attendre à ce que les records continuent d’être battus ».
Un monde qui se réchauffe et qui change
Le suivi des tendances de la température mondiale fournit un indicateur essentiel de l’impact des activités humaines – en particulier des émissions de gaz à effet de serre – sur notre planète. La température moyenne de la Terre a augmenté de plus de 2 degrés Fahrenheit (1,2 degrés Celsius) depuis la fin du 19e siècle.
L’augmentation des températures provoque des phénomènes tels que la perte de masse de la glace de mer et de la calotte glaciaire, l’élévation du niveau de la mer, des vagues de chaleur plus longues et plus intenses, et des modifications des habitats des plantes et des animaux. La compréhension de ces tendances climatiques à long terme est essentielle pour la sécurité et la qualité de la vie humaine, car elle permet à l’homme de s’adapter à l’évolution de l’environnement, par exemple en plantant différentes cultures, en gérant nos ressources en eau et en se préparant aux phénomènes météorologiques extrêmes.