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L’ours des poubelles du Canada

Posté par provola le 29 septembre 2017

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Climat: Il n’y a pas que de mauvaises nouvelles

Posté par provola le 19 septembre 2017

Climat . Le budget carbone de la planèterevu à la hausse

  • D'ici 2030, les émissions devront être inférieures de 25% à celles prévisibles avec les engagements actuels des pays.
    D’ici 2030, les émissions devront être inférieures de 25% à celles prévisibles avec les engagements actuels despays. | Reuters

 

L’ objectif de réduire la température mondiale à 1,5°C serait encore possible selon une étude parue dans Nature Geoscience. Mais il nécessite une réduction de 25% supplémentaires des émissions des gaz à effets de serre de la part des pays engagés dans l’ accord de Paris sur le climat.

Limiter la hausse de la température mondiale à 1,5°C serait encore possible, selon une étude publiée lundi révisant à la hausse les émissions cumulées de gaz à effet de serre à

« Les précédentes estimations du budget carbone pour le 1,5°C (…) basé sur le rapport du Giec ( groupe intergouvernemental sur l’ évolution du climat) étaient quatre fois inférieures » aux résultats de l’étude parue dans Nature Geoscience, explique PierreFriedlingstein de l’ Université d’Exeter, l’un des auteurs.

« Ceci est une très bonne nouvelle concernant la faisabilité des objectifs (de l’accord) de Paris » , ajoute le scientifique.

Optimisme nuancé

Mais la dizaine de chercheurs ayant participé à ces travaux mettent aussi en garde contre unelecture trop optimiste de ce résultat.

L’étude permet de dire que l’objectif de 1,5°C « n’est pas impossible d’un point de vuegéophysique, mais qu’il implique des réductions d’émissions plus ambitieuses que celles promises par les pays jusqu’ici » , écrivent-ils dans un communiqué.

« Cette étude montre que les objectifs de Paris ne sont pas hors d’atteinte mais elleclarifie ce qu’ils impliquent » , estime l’un deux, Michael Grubb, du London College.

Et ce qu’ils impliquent va au-delà des efforts de réduction d’émissions prévues par les pays pour les 15 prochaines années , un fait déjà connu.

Sur la base des engagements nationaux actuels, et sous réserve qu’ils soient réalisés, la planète se dirige plutôt vers une hausse de 3 à 4°C, une sombre perspective pour de nombreuses régions (sécheresses, inondations, hausse du niveau de la mer, acidification desocéans , etc).

Pour un des autres auteurs, Joeri Rogelj, de l’ International Institute for Applied SystemsAnalysis ( Autriche ), l’étude « relance l’objectif de 1,5°C », considéré comme inatteignable par beaucoup de scientifiques, en démontrant qu’il est « possible, même s’il reste très difficile » .

Nouvelle estimation du budget carbone

L’accord de Paris sur le climat conclu en 2015 s’est donné comme objectif de limiter la hausse de la température moyenne « bien en deça 2°C » et de « poursuivre les efforts pour la limiter à 1,5°C ».

L’objectif de 1,5°C étant déjà synonyme de changements profonds dans les climats de la planète, les pays du Sud avaient bataillé ferme à Paris pour qu’il soit aussi inscrit dans l’accord et pas seulement le 2°C.

Depuis l’ère pré- industrielle , la planète a déjà gagné 0,9°C et gagne environ 0,2°C tous les dix ans. En 2015 et 2016, sous l’ effet d’El Nino et d’autres sources de variabilité naturelle qui ne se reproduiront pas tous les ans, la hausse a même atteint 1°C.

Le débat porte donc sur les émissions de gaz à effet de serre à ne pas dépasser pour que la hausse à venir n’excède pas 0,6°C.

Le dernier rapport du Giec (2014) faisait état d’un budget de 400 gigatonnes de CO2 à partir de 2011. En calant cette estimation sur 2015, cela donne un budget de 245 gigatonnes, a expliqué à l’AFP Joeri Rogelj. Or, selon la nouvelle estimation, le budget carbone serait de 880 gigatonnes de CO2.

« Limiter les émissions de CO2 en deçà 880 gigatonnes à partir de 2015, soit 20 années d’émissions annuelles actuelles, permettrait probablement d’atteindre l’objectif de Paris de limiter le réchauffement à 1,5°C », affirme l’auteur principal Richard Millar de l’université d’Oxford.

Pic en 2030

Mais pour garder des chances de tenir le 1,5°C – une hausse qui accentuera déjà certains phénomènes climatiques – il faut que « les émissions déclinent drastiquement à partir de 2030 » et qu’elles atteignent la « neutralité carbone » d’ici 2050 (autant de CO2 capturé que de CO2 émis).

D’ici 2030, les émissions devront être inférieures de 25% à celles prévisibles avec les engagements actuels des pays, précise à l’AFP Joeri Rogelj.

« Tous les grands émetteurs, sans exception devront renforcer leurs efforts si l’on veut avoir des chances de limiter le réchauffement à 1,5°C », ajoute le chercheur pour qui l’étude est « une bonne nouvelle » mais « l’urgence est toujours là ».

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LES RESPONSABLES DE CES OURAGANS: NOUS

Posté par provola le 7 septembre 2017

Irma : des ouragans et cyclones plus intenses à cause du réchauffement climatique

Selon les spécialistes, des cyclones et ouragans d’une intensité plus grande sont l’une des conséquences attendues du changement climatique.

L\'ouragan Irma, photographié le 6 septembre 2017 au dessus des Antilles.
L’ouragan Irma, photographié le 6 septembre 2017 au dessus des Antilles. (DPA / AFP)
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franceinfo avec AFPFrance Télévisions

Mis à jour le 06/09/2017 | 16:47
publié le 06/09/2017 | 16:46DIRECT. Ouragan Irma : au moins huit morts et 23 blessés à Saint-Martin, selon un bilan provisoire

Il n’y en aura pas plus, mais ils vont être de plus en plus violents. Les ouragans comme Irma, qui a touché mercredi 6 septembre les Caraïbes, se nourrissent de l’énergie dégagée par les océans. Du coup, les scientifiques prévoient que l’intensité de ces événements, également appelés cyclones ou typhons, va se renforcer avec le réchauffement climatique. Le terme cyclone (ou cyclone tropical) est réservé à l’océan Indien et au Pacifique sud. On parle d’ouragan en Atlantique nord et dans le Pacifique nord-est, et de typhon dans le Pacifique nord-ouest.

Les modèles informatiques simulant le climat font état d’un renforcement de l’intensité des cyclones (vents et pluies) et d’une possible baisse de leur fréquence au niveau du globe à l’avenir. « Des cyclones d’une intensité plus grande sont l’une des conséquences attendues du changement climatique », explique Valérie Masson-Delmotte, membre du GIEC, groupe de référence au niveau mondial sur le climat. « Plus la température de l’eau et le taux d’humidité sont élevés, plus le cyclone peut prendre de l’intensité. Or, ces deux éléments sont plus intenses du fait de l’augmentation de l’effet de serre, explique la climatologue. On considère qu’il y a 7% d’humidité en plus dans l’atmosphère par degré de réchauffement ».

Le changement climatique ne crée pas ces tempêtes mais il accentue leurs impacts.

Anders Levermann, chercheur au Potsdam Institute for Climate Impact Researchà l’AFP

De nouveaux endroits touchés

L’augmentation du niveau des océans est l’un des marqueurs du réchauffement de la planète. La hausse, variable selon les régions du globe, a été en moyenne de 20 cm au XXe siècle et pourrait atteindre jusqu’à près d’un mètre à l’horizon 2100. Or, les cyclones produisent aussi une houle qui génère des « marées de tempête ». Les deux effets conjugués contribueront à exposer davantage constructions et populations côtières. Des travaux montrent, selon Météo France, que  »la latitude à laquelle les cyclones ont atteint leur intensité maximale a migré vers les pôles au cours des 35 dernières années dans les deux hémisphères ».

Cela pourrait être lié à l’expansion de la ceinture tropicale, c’est-à-dire des zones de part et d’autre de l’Equateur où règne un climat chaud et humide. « Des endroits qui sont plus habitués et mieux préparés aux cyclones pourraient être moins exposés et d’autres, moins bien préparés, pourraient l’être davantage », renchérit James Kossin de l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).

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Putain il faut le dire comment ?

Posté par provola le 3 septembre 2017

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