L'éolienne est une voile actuelle , symbole d'une symbiose réussie entre homme et nature mais également de la transmission entre générations , ne laissant aucune trace indélébile de notre passage, qu'une forme aboutie de notre sobriété , de notre conscience .
DANTON peu de temps avant d’être guillotiné en 1794
"Nous avons brisé la tyrannie des privilèges en abolissant ces pouvoirs auxquels n'avait droit aucun homme.
Nous avons mis fin au monopole de la naissance et de la fortune dans tous ces grands offices de l'Etat, dans toutes les parties de ce grand corps magnifique de la France.
Nous avons déclaré que l'homme le plus humble de ce pays est l'égal des plus grands.
Cette liberté que nous avons acquise pour nous-mêmes nous l'avons affectée aux esclaves et nous confions au monde la mission de bâtir l'avenir sur l'espoir que nous avons fait naître."
Le Che Alger 1965
"Il n'est pas pour nous d'autre définition du socialisme que l'abolition de l'exploitation de l'homme par l'homme."
"Les plantes semblent avoir été semées avec profusion sur la terre comme les étoiles dans le ciel pour inviter l’homme par l’attrait du plaisir et de la curiosité à l’étude de la nature"
En marge de la COP21, Airbus annonce la commande de 20 appareils A321neo supplémentaires par la Turkish Airlines. La compagnie aérienne a déjà réalisé une commande de 72 A321neo.
Airbus annonce la commande de 20 appareils A321neo supplémentaires par la Turkish Airlines.
La compagnie aérienne a déjà réalisé une commande de 72 A321neo. Elle renouvelle ainsi sa confiance pour l’A321neo.
‘ Notre compagnie aérienne est l’une des plus dynamiques du monde. Elle doit avoir une stratégie de croissance ambitieuse avec l’avion le plus efficace, fiable et rentable ‘ a déclaré le Dr Temel Kotil, CEO de Turkish Airlines.
» Cette commande supplémentaire de 20 A321neo nous aidera à atteindre nos plans d’expansion d’une manière rentable et durable. »
Alors , si c’est durable tout va bien, c’est parfait pour la COP.
Hollande qui lançait hier le sommet du climat a invité sur scène le petit Bill Gates fondateur de Microsoft qui présentait un projet de financement des énergies solaire et autres renouvelables en compagnie de ses alter-ego de Facebook, Amazone, Google, Apple etc.
En réalité les Etats considèrent qu’ils n’ont plus la possibilité de financer la transition énergétique de la planète et se disent ainsi dépendants des GAFA, les super trusts de la nouvelle économie. Ainsi ces méga-multinationales fortes de leur valeur en bourse de l’ordre de quelques centaines de milliards de Dollars, peuvent se permettre de proposer un deal qui ressemble à un piège fatal.
En gros, » vous êtes en train de sombrer mais nous avons les moyens de vous sauver, bien entendu ànos conditions » , un peu comme une sorte de PPP (Participation public privé, on sait ce que ce système coûte chaque année à notre Etat déjà endetté au plus haut point ) . « Vous les Etats qui êtes désormais sans le sou, nous nous chargeons d’accélérer le processus de transformation énergétique du monde, il vous suffira de nous rembourser aux conditions du prêteur évidemment. »
Non contents d’avoir dilapidé les ressources financières du monde en se réfugiant dans un labyrinthe organisationnel par un subtil jeu d’optimisation fiscale, les Gafa s’immiscent maintenant dans le casino royal de la COP 21 en proposant un deal démoniaque qui liera le sort de la planète à quelques multi-milliardaires déjà détenteurs de la moitié des richesses globales.
Tout cela comme le reste passe comme une lettre à la poste et les médias détenus par les petits copains de ces faux sauveurs de l’humanité déroulent le tapis rouge à cette entourloupe incroyable.
A ce rythme de déroulement des discours, en ces jours de démarrage des négociations, votre fidèle serviteur risque à tout moment la crise cardiaque.
Le discours du Président Bolivien à l’ouverture de la COP21 :
Le ton est donné, la fracture se situe exactement entre les pays du sud et les pays du nord ayant pollué la planète impunément durant 160 ans.
Les USA et l’Europe reconnaissent leur responsabilité et son prêts à payer pour la transformation énergétique des pays du sud ? Morales leur dit: chiche.
Le Président bolivien pointe du doigt le capitalisme débridé qui au nom de la liberté de marché globalisée a dégradé notre planète -mère jusqu’à un point de non retour.
Il déplore la façon dont le système dominant a exploité jusqu’à plus soif les ressources de la planète au profit de quelques-uns.
Des mots très lourds de sens qui n’ont pas reçu un accueil enthousiaste à la fin du discours. On s’en doutait un peu, des mots passés totalement inaperçus dans la mélasse des déclarations convenues des pays du nord.