ON ACHEVE BIEN LES CHIENS
Posté par provola le 10 octobre 2009
Au nom du père du fils et de saint Sarkozy.
Un drapeau corsaire flotte sur la plus haute tour de la défense, oraison funèbre au sens des libertés fondamentales.
Il claque comme la pomme de discorde qui désormais éloigne le maître des ces lieux et le commun des mortels. Grandiloquence n’est que l’anti-chambre de la décadence.
Le fils du père règnera par la petite porte, celle qui d’office mène tout droit aux oubliettes.
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